J’avoue je suis actuellement en train de tester de nouveaux soins pour la peau. Et j’y mets du cœur à l’ouvrage puisque j’ai commencé en mars avec la gamme beauté Ioma. Cette marque mise sur une étude personnalisée de la peau grâce à un appareil et la préparation de crèmes tout autant personnalisées suite au diagnostic de peau.
J’y pense là, comme ça, car je viens de voir une publicité du style « Découvrez sur L’Institut en Ligne les produits Maria Galland à des prix imbattables » .
C’est un nom qui me semble familier et je découvre sans être vraiment étonnée que déjà,pendant les années 50-60, les femmes (comme Maria Galland créatrice de la marque éponyme) voulaient des soins de peau sur mesure. Pas envie de se tartiner coûte que coûte avec la bonne vieille crème familiale Nivea ! Si les pubs vantent les bienfaits des crèmes visage élaborées grâce aux scientifiques et aux dermatologues, Maria Galland elle, n’avait pas attendu !
Mais aujourd’hui je te raconte une petite histoire. Celle où j’ai enfin réussi à retrouver des joues aussi douces que le fessier d’un nouveau né. Et sans les rougeurs.
Quelle crème pour une peau sèche ?
Déjà petite, j’avais l’impression d’avoir perdu en tirant à la courte paille. Diagnostic une peau sèche atopique, ce qui en soit n’est pas une tare, mais j’étais abonnée à la formation de dartre sur le visage. Avec une peau métisse qui profite du moindre rayon de soleil, chaque été j’avais le visage tacheté de plaques claires et rugueuses, avec la sensation de tiraillement en permanence.
A chaque consultation chez le médecin ou le dermatologue, la seule solution en plus de l’hydratation était une préparation pharmaceutique en crème pour assaisinir ma peau.
Cette préparation contenait du sulfate de zinc. Détail à retenir car il a toute son importance dans l’histoire.
Bon an mal an j’ai trainé mes guêtres et mes dartres, prenant soin à hydrater ma peau. Mon visage a de moins en moins souffert des dartres en grandissant, parfois il m’arrive d’avoir une petite tache mais c’est rare.
Heureusement, ado, j’ai échappé à la peau acnéique, mais adulte, il me reste toujours une peau rugueuse, qui en plus picote parfois. D’ailleurs la mode du nettoyage du visage avec le basic 3 temps de Clinique, m’a bien piqué la goule.
« C’est normaaaal c’est signe que c’est efficace » m’a t-on dit.
Moi j’avais surtout retenu les trois dernière lettres du mot normal.
M-A-L
En tous cas maintenant je sais que non, je connais le pourquoi du comment et j’ai espoir de finir mon gros flacon pour 2017 ˆˆ.
Pour le corps et les jambes de lézard au moins j’ai trouvé une solution….
Toujours en galère avec ma peau
Plus tard, en 2009, j’ai découvert une autre joyeuseté : le psoriasis.
Avant de le diagnostiquer, le gentil dermato m’avait fait faire une batterie d’analyses sanguines, à la recherche de choses comme le lupus ou autres maladies auto immunes. Autant dire que la Joie se lisait sur mon visage dans son cabinet rue Verdière à La Rochelle. …
Bizarrement ce psoriasis était sytématiquement cantonné au visage, allant jusqu’à me blesser le dessous des yeux, du cou, laissant quelques cicatrices qui ont finalement disparu. (Là tu comprends pourquoi j’ai perdu l’habitude de publier des looks sur le blog).
En phase de rémission tu desquames à mort et tu sèmes des lichettes de peau un peu partout. Trop coooool !
Si la littérature dit que le pso peut ête familial (oui ma grand mère en a fait, mais super tard), il est aussi lié au stress et aux émotions. Psychosomatique la saleté.
Puis chemins de vie se sont séparés et ….. A-D-I-E-U Monsieur Pso ! (mais je me méfie dès que j’ai une paupière qui picote)
Le brumisateur assainissant, l’ami de ma peau
A l’automne dernier, agacée d’avoir la moitié de mon démaquillant absorbé par mon coton à démaquiller, je me suis mise à le vaporiser avec un brumisateur La Roche Posay.
Celui-ci :
Puis après le démaquillage j’ai aussi vaporisé mon visage avec de l’eau en brumisateur en guise de tonique.
Mais pas n’importe lequel.
Celui-là, la version bleue, qui est nommée SEROZINC.
Elle est conseillée aux peau grasses à imperfection mais je l’avais quand même achetée pour ses promesses « soluté de sulfate de zinc assainissant, apaisant »
Et au bout de quelques semaines… d’un coup je me suis dit:
« AAAAh ben dis donc t’as une belle peau toâ »
Clin d’oeil #toussa #toussa
3 secondes plus tard :
« Oh My Gad ! par tous les dieux de fucking shoes !! Mais tu as une vraie belle peau !! »
Miracle ! Ça méritait bien une danse de la joie en culotte.
Et j’ai compris. C’était MA solution
L’hydratation, les molécules de sulfate de zinc qui assainissent la peau et le fait d’utiliser le brumisateur qui en plus exposait moins ma peau à l’eau hyper calcaire de La Rochelle.
Comme je suis une follasse, (flemmarde) j’ai arrêté au bout de 2-3 mois.
Et je m’en suis mordu les doigts parce que ma peau était redevenue toute dégueulasse, râpeuse. J’exagère un peu mais ça a permis de valider l’expérience, la jolie peau revient avec la brume en étant assidue !
Et promis, quand je finis mon test avec Ioma, j’en parlerai. Je vais même pouvoir continuer pendant les vacances vu que j’ai aussi le kit voyage !
Si vous aussi vous connaissez Ioma ou si vous vous posez des questions, venez on en parle sur Instagram !
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