Voilà ma version épurée de Roland Garros. À peine rentre du boulot, tiraillée entre l’envie d’allumer mon ordi / buller devant la télé / piquer une tête dans mon lit.
Parce que malgré la fatigue de hier, avec un bon petit mal de tête, c’est à 4h ce matin que j’ai ouvert un œil. Le premier…celui qui colle…
Pas moyen de me rendormir et l’heure tournant me rendormir aurait fait plus de ravages.
La télé en fond avec des Raahhhha ! Huuuuuh . Rhoooooor ! (non ce n’est pas un film porno, juste Roland Garros avec Tsonga ) je refais vite un doigt ou deux ( non ce n’est toujours pas un film porno) de ma french manucure.
Ça faisait longtemps que je n’en avais pas fait, parce que batailler avec un coton pour enlever le vernis écaillée d’un seul doigt chaque jour c’est un peu énervant. Ma parade était de mettre un gant en latex, avant finalement d’acheter du dissolvant miraculeux. J’avais vu celui de Séphora qui ne m’inspirait pas plus que ça (l’ongle blanc desséché très peu pour moi) j’ai opté pour le dissolvant miracle de Bourjois. Et me voilà réconciliée avec la fragile french manucure faite maison… pour le moment.
Je retourne buller devant la télé (cas assez rare surtout quand il s’agit de sport…) avec mon nouveau Fashizblack.
Il ne me manqueait plus qu’une belle tapette à mouche raquette et un moshi-moshi (genre Anaïs .. . si tu connais pas je t’ai mis la vidéo , donc pas d’excuse) pour faire un city look Roland Garros , mais là tu vois…j ‘ai eu la flemme.
Jupe : Lacoste (vintage)
Sneakers : Modèle Teak de Faguo
Magazine : Fashizblack
Ma french manucure avec :
- La base : un soin des ongles Ethnicia,
- le blanc mini vernis Sephora,
- et un topcoat : L’oréal (Resist &Shine Titanium)
Ensemble lingerie en broderie anglaise : T’Edith
